Construction, réhabilitation ou extension, nous vous accompagnons pour votre projet d’architecture tertiaire.
Votre établissement est un élément à part entière de votre identité visuelle. Nous tenons à ce qu’il reflète votre univers de marque. C’est l’occasion de vous différencier.
Mais plus qu’un design attractif, nous vous proposons une conception sur mesure.
Un bâtiment parfaitement adapté aux besoins spécifiques qu’implique votre secteur d’activité et aux normes réglementaires associées.
Pour que vous soyez hors norme en toute conformité !
À l’image de votre projet, nos réalisations sont uniques. En voici un aperçu commenté pour illustrer notre démarche de personnalisation.
Le projet consiste à réaliser une étude de faisabilité d’un large programme contenant un hôtel, une base de loisirs, des logements individuels groupés, une salle polyvalente, un restaurant, une boîte de nuit et une école d’art. Le site du projet, au bord de la lagune, est un emplacement privilégié pour ce type de programme. Il est proche de l’aéroport et du centre de Lomé, il jouit d’une vue unique sur la lagune et ses futures aménagements.
Motivée par la volonté de voir le quartier de Bé se développer, la mairie met en place un plan de développement urbain autour de la lagune.
Ce projet de grande envergure, dont l’hôtel et la base de loisirs seront le point d’orgue, influera grandement sur la fréquentation et l’attractivité de ce projet.
Le dimensionnement des surfaces et la disposition des éléments du programme sur le site sont la clef de réussite du projet. Après avoir exploré plusieurs options, nous avons fait le choix de positionner l’hôtel et la base de loisirs au centre de la parcelle.
Ce projet a pour objectif d’être exemplaire dans la valorisation des berges de la lagune en permettant aux Togolais de se réapproprier cet espace majeur de la commune tout en favorisant son attractivité pour le tourisme d’affaire niche prometteuse, en plein essor en Afrique.
Concours de stratégie territorial
L’articulation d’un territoire étendu comme celui de Deauville à Pont l’Évêque, à la fois urbain et rural, soulève un certain nombre d’enjeux.
Après un travail fin d’analyse du contexte, il est ressorti que nous pouvions répondre à ses enjeux selon trois axes thématiques : Atténuation, Adaptation, Valorisation (qui eux-mêmes se déclinent en sous thèmes par la suite). Ainsi, nous avons choisi de démêler la complexité de ce territoire par une compréhension multicouche employant de façon successive chacun des thèmes précédents. A chaque lecture nous trouvions des réponses propres à chaque thème jusqu’à trouver et combiner celles qui forment de véritables stratégies territoriales et locales cohérentes.
Ces thèmes devenus fils conducteurs de nos stratégies sont définis comme suit :
Atténuer : Réduire la vulnérabilité du territoire en pensant les recompositions paysagères et architecturales comme outils de gestion des risques,
Adapter : Mettre en place différents modes d’acceptation de l’eau sur le territoire pour trouver une synthèse entre phénomènes naturels et activités humaines,
Valoriser : Développer une vision et une utilisation à la fois positive humainement, écologiquement et économiquement de la transformation des paysages et des modes de vie au prisme de l’eau.
Mesure d’urgence face à la densité bâtie en front de littoral, nous proposons premièrement l’atténuation du risque submersion et inondation par la création d’une zone tampon dans l’épaisseur de la plage, mise en place progressivement dans le temps : Aménagement d’une lisière littorale par paliers dont les installations utilisables par les habitants et visiteurs à niveau bas, servent épisodiquement à ralentir la montée des eaux. Compte tenu de la projection 2040 où la départementale 513 serait régulièrement inondée, nous avons choisi de la transformer graduellement en promenade pour mobilités douces, complément à la lisière littorale. Cette infrastructure solidement dimensionnée devient un atout à notre stratégie d’atténuation. Les aménagements décrits par ailleurs viennent s’adosser à cette armature afin de se consolider mutuellement pour former un rempart d’atténuation. Les coûts de ces aménagements, réduits par la disponibilité de la D513, restent conséquents. Ils peuvent être réalisés en plusieurs étapes et progressivement dans le temps.
Nous proposons ensuite des mesures d’adaptation ambitieuse qui projettent de nouveaux modes d’habiter le territoire :
Définitions de règles nouvelles d’urbanisation consistant à limiter (voire interdire) l’urbanisation traditionnelle en zones inondables.
Dans ces zones seules des architectures innovantes compatibles avec le risque eau pourront être apportées pour toute nouvelle construction ou réhabilitation.
Construction pour accuellir des médecins, un pédiatre et des sages femmes.
Le maitre d’ouvrage a formulé la volonté d’obtenir un batiment contemporain mais s’intégrant toutefois dans son contexte afin de créer un sentiment de sécurité et de familiarité.
Pour cela, nous avons fait le choix de créer une dualité entre deux volumes simples. Le volume principal est enduit et couvert de tuiles de manière à s’intégrer aux batis environnant tandis que le second, plus singulier, est recouvert d’un bardage bois et apporte de la chaleur à l’ensemble.
Un brise soleil visant à protéger la facade de l’ensoleillement direct, vient relier les deux volumes et créer une continuité materielle.
Protégé du bruit par les batiments environnants, ce projet bénéficie d’un environnement calme. Le volume en bois est donc surmonté d’une toiture terrasse végétalisée afin d’offrir un espace de repos extérieur protégé des vas et viens du Rez-de-chaussée.
Projet de fin d’étude réalisé à l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Toulouse.
Le projet s’inscrit dans une démarche sociale, économique et culturelle. Il répond à des problématiques récurrentes, liées aux inondations de N’Djamena, la capitale du Tchad. En effet, la ville est implantée dans un site marécageux, sur la partie du sahel africain, qui reçoit d’importantes précipitations pendant trois mois de l’année. Le site contient des bassins naturels de rétention d’eau, qui sont aujourd’hui envahis par des constructions provoquant d’innombrables inondations tous les ans. En partie asséchés hors saison de pluie, les bassins de la ville deviennent des espaces résiduels, non qualifiés, un terrain vague couvert de déchets entrainant des maladies épidémiques.
Le projet propose de limiter l’étalement urbain, de redonner au bassin sa qualité première qui est la rétention d’eau, de réaliser des aménagements publics pour améliorer les conditions de vie autour des bassins, de redynamiser les berges par des équipements publics et enfin de proposer une alternative à l’étalement urbain en aménageant des parcelles pour des habitations plus denses. Ainsi, je développe un projet de marché au bord du bassin N’Djari, le long de la rue du canal qui est une des
armatures principales de la ville.
Ce projet intègre plusieurs caractéristiques des marchés tchadiens. En effet, les marchés de N’Djamena se caractérisent principalement en trois séquences :
– le marché appelé Siegaï : c’est une partie du marché qui est en plein air où les marchands ont seulement besoin d’un sol propre pour poser leurs marchandises dans la journée
– le marché couvert : c’est la partie du marché qui contient les denrées ayant besoin d’être à l’ombre
– le marché appelé Souk : c’est la partie du marché qui contient des boutiques.
Nous réalisons des bâtiments avec toitures en panneaux photovoltaïques, et ce quelle que soit la superficie ou la nature d’activité qui y est exercée : bâtiments agricoles, industriels, tertiaires ou équipements publics. Prendre en compte cette caractéristique dès la phase de conception comporte 3 avantages : mise en œuvre facilitée, construction adaptée, et rendu esthétique.
En qualité d’intermédiaire, nous prenons en charge les démarches auprès du prestataire, du devis à l’installation, comme nous le faisons pour chacun des corps de métiers présents sur le chantier.
Ensuite, c’est un critère à part entière qui, noté dans le cahier des charges, influence forcément notre processus de création. Pour optimiser le rendement des panneaux solaires, nous veillons à ce que leurs inclinaisons et leurs orientations soient idéales. Il y a donc une incidence sur la structure même du bâtiment, d’autant qu’ils seront directement intégrés à la toiture, et non posés sur un pan de toit existant. Outre l’économie de matériaux que cela engendre au départ, le rendu n’en est que plus esthétique.
Et c’est aussi là notre motivation : construire des bâtiments photovoltaïques harmonieux et élégants sans dénaturer le paysage. Car c’est bien souvent ce qui est reproché à ces équipements. Lever ce frein à l’installation est un moyen pour nous d’en augmenter l’attrait. Nous espérons ainsi aider ceux qui le souhaitent à participer à la transition écologique en investissant dans l’énergie solaire. Et au vu du taux d’ensoleillement d’Occitanie, c’est plutôt une aubaine pour les propriétaires !
Vous avez des questions concernant nos services, nos projets ou notre entreprise ? Nous sommes là pour vous aider ! Notre équipe dévouée est prête à répondre à toutes vos interrogations et à vous fournir les informations dont vous avez besoin pour concrétiser vos projets.